Diane Perron, cultiver pour le climat, la biodiversité et l’autonomie
À PROPOS
CULTIVER NOTRE PROPRE NOURRITURE EST UN BON MOYEN DE CONTRIBUER À RÉDUIRE NOTRE EMPREINTE ALIMENTAIRE SUR LA PLANÈTE EN PLUS D’ASSURER NOTRE SÉCURITÉ ALIMENTAIRE.
Le monde naturel est en train de se transformer. Nous sommes totalement dépendants de la planète. Elle fournit notre nourriture, notre eau et notre air. C’est notre capital le plus précieux pour notre survie et nous devons le défendre. Nous pouvons avoir un impact important a en faisant les bons choix pour cultiver.
LE BUT DE CE SITE WEB EST D’APPORTER LES MEILLEURES INFORMATIONS ET OUTILS POSSIBLES POUR LE FAIRE EN RESPECTANT LA NATURE.
Beaucoup cherchent des moyens d’aider davantage et de s’impliquer activement dans la recherche d’une solution au réchauffement climatique. Ce concept nous offre différents moyens de « cultiver de la nourriture pour nous-mêmes et nos familles, et aussi de faire partie de la solution au problème climatique et environnemental ».
De plus, les gens sont de plus en plus préoccupés par la sécurité générale du système alimentaire et veulent établir un lien direct avec la provenance de leur nourriture. Lorsque nous cultivons en respectant la nature, nous contrôlons toutes les étapes, du processus de culture, de la sélection des semences, des moyens de lutter sainement contre les ravageurs, en passant par la récolte et le compostage. Et les aliments que nous cultivons nous-mêmes sont beaucoup plus frais, avec un profil nutritionnel plus élevé.
Si vous cultivez vos propres aliments, vous aurez moins besoin d’en acheter qui proviennent de grandes exploitations qui ne respectent pas la nature et qui font des milliers de kilomètres pour venir jusqu’à vous. Et lorsque vous plantez et entretenez votre terrain de manière saine, cela peut également contribuer à protéger le sol, à soutenir les pollinisateurs et à réduire votre empreinte carbone. Il peut sembler que vous ne feriez pas une grande différence dans le monde en cultivant vos propres tomates et haricots, mais multipliez-les par des millions de jardins similaires à travers le pays et le monde, et tout cela peut aboutir à un changement significatif.
CONTINUER APRÈS LA PANDÉMIE
Avec la crise qu’a causée la pandémie, certains d’entre nous fixent des pelouses dont la seule valeur nutritive se trouve dans le pissenlit, et d’autres veulent simplement devenir plus autonomes, de plus en plus de gens ressentent le besoin de cultiver quelque chose de comestible. Et il est vrai que cultiver des aliments peut nous rendre plus autosuffisants et nous donner un sentiment de contrôle dans un monde où tant de choses nous échappent.
Après la crise, plusieurs seront tentés d’arrêter de cultiver. Au contraire, même si vous ne souffrez pas d’insécurité il faut continuer d’augmenter nos connaissances. Cultiver est un ensemble de compétences – il est amusant à apprendre et inestimable une fois que vous avez pris le coup de main. Et je dirais que la capacité à cultiver sa propre nourriture est aussi fondamentale pour la survie et le bien-être que la lecture, l’écriture et l’informatique.
Depuis des années, de nombreux experts éminents soulignent la fragilité de notre système alimentaire et sa dépendance à l’égard de longues chaînes d’approvisionnement. De plus les changements causés par la crise climatique et environnementale ajouteront à ces difficultés les prochaines années.
La vérité est aussi que la culture de fruits et légumes riches en nutriments est l’une des meilleures polices d’assurance maladie que l’on puisse souscrire. Et de bien se nourrir aidera pour passer à travers les différentes crises que nous subirons. Les personnes en bonne santé ont une meilleure protection face à la maladie.
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